Les expériences révolutionnaires de la fin de l’époque moderne et le concept de liberté chez Hannah Arendt

Auteurs

  • Diego Avelino de Moraes Carvalho IFG - Instituto Federal de Educação, Ciência e Tecnologia de Goiás

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https://doi.org/10.15175/1984-2503-202012306

Mots-clés:

Liberté, révolution, époque moderne, Hannah Arendt

Résumé

Le concept de liberté chez Hannah Arendt est l’un des plus importants de son œuvre. En ce qu’il est associé au discours et à l’action humaine, il comporte différents niveaux et variantes au fil de l’histoire, mais a toujours su rester valide face aux sphères publiques et privées de la vie en société. L’objectif de cet article est de présenter la façon dont ce concept s’est historicisé dans l’œuvre de la philosophe juive allemande, pour montrer à quel point les expériences révolutionnaires de la fin de l’époque moderne marquèrent le débat autour de la signification de la notion originellement grecque de liberté. Bien qu’en son cœur la notion de liberté soit restée la même dans l’Antiquité et à l’Âge moderne, il n’en demeure pas moins essentiel d’identifier de quelle manière se sont re-hiérarchisées les activités humaines (travail, fabrication et action) qui ont été instrumentalisées par divers régimes et expériences révolutionnaires, et ce plus particulièrement au fil des derniers siècles.

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Biographie de l'auteur

Diego Avelino de Moraes Carvalho, IFG - Instituto Federal de Educação, Ciência e Tecnologia de Goiás

Pós-Doc e Doutor (Ph.D) em História Social e Mestre em Ética e Filosofia Política (UFG). É professor/pesquisador do Departamento de Ciências Humanas e Filosofia do Instituto Federal de Educação, Ciência e Tecnologia de Goiás (IFG - Campus Goiânia).

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Publiée

2020-10-09