Les masques de l’État oppresseur : la criminalisation des mouvements sociaux au Brésil
DOI :
https://doi.org/10.15175/1984-2503-20168106Mots-clés :
Criminalisation, manifestations populaires, Brésil, criminologie critiqueRésumé
Notre objectif est de mettre en perspective la criminalisation des mouvements sociaux lors des manifestations populaires de 2013/14 au Brésil visant à garantir la bonne tenue des grands évènements accueillis par le pays. À cette fin, nous débattrons du rôle joué par l’ordre juridique dans la vie sociale, et notamment par le discours répressif lié au processus d’identification des opposants au système. Nous avons en outre réalisé une analyse historique de certaines normes pénales brésiliennes utilisées en périodes d’exception dans le but de pouvoir mieux observer de quelle manière l’ordre juridique légitime les actions étatiques de contrôle social. Nous avons choisi comme cadre théorique les perspectives de la criminologie critique et pu en outre observer que ce débat se base sur d’innombrables facteurs politiques, économiques et idéologique.Téléchargements
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